Dans cet univers musical ivoirien en constante ébullition, des artistes engagés, créatifs, et viscéralement attachés à leurs racines, marquent les esprits. Verdigo, un artiste engagé, créatif et viscéralement attaché à ses racines, s’apprête à marquer les esprits avec la sortie imminente de son nouveau single, “Tapé le tchapa” une danse à l’ivoirienne qui s’inscrit fièrement dans la mouvance Biama.
Un style qui revendique une identité
Le Biama, ce courant artistique aux sonorités traditionnelles teintées d’influences modernes, est bien plus qu’un genre musical. C’est une philosophie, une revendication culturelle, un reflet d’une jeunesse en quête d’authenticité. Vanié Bi Jean Jaurès alias Verdigo, fidèle à cet esprit, façonne sa musique comme un pont entre héritage et innovation.
« Tapé le tchapa », un geste, une énergie
Avec “Tapé le tchapa à l’ivoirienne”, Verdigo invite à la célébration de l’attitude ivoirienne dans toute sa vitalité. Le tchapa, geste expressif issu des danses populaires, devient ici le symbole d’un rythme qui fédère. L’artiste y mêle percussions puissantes, textes en nouchi, et arrangements modernes pour livrer un son dansant, identitaire et fédérateur.
Une sortie très attendue
Le titre, déjà teasé sur ses réseaux sociaux, suscite curiosité et impatience auprès de ses fans. La sortie officielle est prévue pour la semaine prochaine, avec une performance live programmée à dans plusieurs coins chaud d’Abidjan.
Un artiste, un message
Verdugo ne se contente pas de faire danser. À travers son Biama, il porte aussi un message de fierté, d’unité et de résilience. Son engagement transparaît dans chaque note, chaque mot, chaque geste. “Tapé le tchapa”, ce n’est pas seulement un refrain pour lui, c’est un appel à rester debout, à revendiquer son identité avec fierté.
“Je fais du Biama, un art de vivre, un langage de l’âme. Dans Tapé le tchapa, je parle à tous ceux qui veulent affirmer leur identité. Ce n’est pas qu’une chanson pour danser, c’est une manière de dire qu’on est là, qu’on existe, qu’on est fiers d’être nous-mêmes. Je veux que chacun retrouve sa force dans ce rythme”, a souhaité Verdigo.
Bekanty N’ko
