Des femmes racontent l’instant fatidique
Attention, aucun homme n’est à l’abri !
*Des personnalités politiques et des hommes de Dieu sur la liste
Chaque fois qu’un disciple d’Éros (dieu du plaisir sexuel), pactise avec Thanatos (dieu de la mort), en plein culte intra-jambaire, la fin du film rapporté dans la presse est (presque) toujours la même : la belle du défunt a cliqué sur ‘’se fondre dans la nature’’. Ou, dans certains cas, a mis tout en œuvre pour étouffer les détails intimes du drame. Pour la première fois, trois de ces femmes ‘’témoins spéciaux’’ des derniers instants (sexuels) de leur homme ont accepté de mettre des mots sur leur drame intérieure. Et permettre de remonter le fil de cette ‘’étrange’’ mort…
En bons disciples d’Éros, nous sommes tous unanimes : l’orgasme – le Graal des connexions intra-jambaires – est comparable et souvent même qualifié de ‘’petite mort’’. Mais, parfois, il arrive que le vol au 7ème ciel crashe. Foudroyant mortellement le bienheureux ‘’pilote’’. Et pourtant. On le sait, l’activité sexuelle demeure une composante essentielle du bien-être de chacun. Et ce, que l’on trimballe ou non une maladie cardiovasculaire. Alors, pour comprendre cette ‘’trahison’’ du cœur en pleine ‘’cavalcade’’ ou juste après, les spécialistes du cœur insistent sur deux points essentiels.
Premièrement, faire l’amour est une activité physique qui, comme tout sport, accroît le risque d’accident cardiaque au moment où on la pratique. Et, habituellement, ce risque redescend à son niveau de base environ deux heures après. Deuxièmement, pratiquer régulièrement une activité physique (sexe ou autre), réduit le risque d’accident cardiaque. A quelques restrictions près. Notamment pour ceux qui ont fait un infarctus du myocarde, subi un pontage ou une opération à cœur ouvert, qui souffrent d’une angine de poitrine, d’insuffisance cardiaque, d’arythmie, de maladie valvulaire, etc.
En fait, il ressort que chez un homme, une connexion intra-jambaire ordinaire avec sa partenaire habituelle équivaut à l’effort nécessaire pour monter deux étages à pieds. Les cardiologues français vont même plus loin, élevant les estimations à trois étages lorsqu’il s’agit d’un ‘’coup’’ tiré hors du foyer. Ou aussi d’une connexion ‘’établie’’ dans un endroit ou une situation inhabituel, imprévu ou stressant. En effet, dans ces cas cités, soit l’homme fournit plus d’effort, soit les hormones de stress libérées dans son organisme pendant la ‘’partie’’ accroissent sensiblement le risque cardiaque.
Des coups de reins au… ‘’Coups de cœur’’
Dans la pratique, une connexion intra-jambaire ‘’normale’’ n’est pas si terrible que ça pour le cœur, vu que la fréquence cardiaque dépasse rarement 130 battements par minute. Mais, au moment de l’orgasme, la tension peut grimper considérablement. Et si cela n’a pas grand effet sur les hommes jeunes (qui n’ont pas d’hypertension artérielle), chez les hommes plus âgés ou ayant des maladies cardiaques ou pulmonaires, ça peut se gâter à tout moment. Parce que l’estimation d’effort pour ces ‘’vieux’’ au moment de l’orgasme est plus près de la montée de trois étages que des deux qui s’applique aux jeunes hommes en bonne santé. Car, « on sait que l‘orgasme est le paroxysme du plaisir, autrement dit le moment durant lequel la jouissance sexuelle est maximale. Ainsi, l’épectase est généralement le résultat d’un accident cardiaque, c’est-à-dire le cœur qui lâche. Mais il peut également résulter d’une atteinte d’une artère cérébrale ou d’une rupture de l’aorte, causant la mort par épectase », renseignent les documents médicaux au sujet de cette fameuse extase qui vire à… l’Epectase (nom scientifique de la mort en pleins ébats sexuels).
A en croire des études sérieuses, la probabilité d’avoir une crise cardiaque pendant une connexion intra-jambaire (ou autre activité physique), est en moyenne 3,5 fois plus élevée que lorsqu’on est au repos. De même, la probabilité d’avoir une crise cardiaque pendant ou immédiatement après la ‘’consommation’’ du fruit est 2,7 fois plus élevée que quand on ne croise pas les reins avec une femme.
En définitive, c’est lorsqu’on n’a pas d’activité physique régulière et qu’on se lance dans un exercice intense, comme lors d’une connexion intra-jambaire à haut débit émotionnel (notamment dans le cas d’un ‘’tonton’’ avec une ‘’bonne petite’’), que l’ombre d’une mort ‘’en pleins ébats sexuels’’ s’épaissit dans le lit.
Maîtresse, prostituée, ‘’bonne petite’’… Danger !
Une étude japonaise basée sur 5559 autopsies réalisées après des morts subites, a permis de noter 34 décès survenus ‘’en pleins ébats sexuels’’. Soit 1 mort sur 200. D’autres études européennes plus récentes ont confirmé cette proportion de morts subites pendant l’orgasme ou juste après. Détails de taille : 8 à 9 cas sur 10 concernent essentiellement des hommes.
Une étude du Centre de médecine légale de l’université de Francfort (Allemagne) qui a analysé 56 cas d’hommes décédés ‘’durant l’orgasme’’ sur une période de 30 ans, montre clairement ceci : « Plus de la moitié des victimes sont mortes dans les bras de leur maîtresse ou d’une prostituée. Alors que seul ¼ d’entre eux sont morts dans le lit conjugal ». Toute chose qui confirme le rôle du stress ou de l’effort excessif…Dans les ‘’extras’’.
Une autre étude basée sur 30.000 autopsies effectuées les 30 dernières années a mis en lumière 60 victimes (56 hommes âgés en moyenne de 59 ans et 4 femmes), « mort par arrêt cardiaque pendant un ébat amoureux ».
A ce jour, on ne dispose pas encore d’explications rationnelles quant au très faible taux de femmes victimes d’épectase, quand bien même certaines sont de redoutables ‘’femmes de feu’’ sous la couette. Mais pour les hommes, on retient surtout qu’en général, ils ont tendance à montrer beaucoup plus d’ardeur (endurance) et d’imagination (positions, expériences…) lors des ‘’piqûres’’ extra-conjugales. « En réalité, l’effort, même s’il n’est pas très important durant le coït, entraîne quelquefois une surcharge de travail au niveau du cœur, ce qui peut aboutir à une mort subite durant l’orgasme », concluent les documents médicaux…
Certes, dans ce virage à 90° que prend parfois ce qui était parti pour être un ‘’petit quart d’heure’’ de ‘’détente’’, ce sont les hommes qui trinquent le plus. Mais même ‘’préservées’’ de ce sort, les compagnes (femmes, amantes, copines…) qui se trouvent être aussi, d’une manière ou d’une autre, partie prenante dans le drame de ces hommes, n’échappent pas pour autant aux ‘’effets’’ collatéraux de ces ‘’accidents’’. Trois de ces ‘’victimes’’, sous exigence de l’anonymat (il faut les comprendre), ont tenté de trouver les mots justes. Pour dire la tragédie qui est la leur depuis qu’elles ont vu leur homme pousser son dernier soupir… dans leurs bras. Ou dans leur lit…
Par Améday KWACEE
Angeline D., 46 ans, Commerçante.
Elle a vécu 8 ans avec S. Falikoun, transporteur de marchandises mort (officiellement de crise cardiaque) en 2007. Il avait plus de 60 ans.
« J’ai perdu plus de 5 kilos en deux jours ! »
« Il (elle évitera pendant tout le témoignage, de prononcer son nom : Ndlr) a rendu son dernier soupir couché sur moi… » Était-il encore EN elle ? Adressons-nous timidement à sa sœur qui nous sert d’intermédiaire. Mais la concernée marque une pause, puis poursuit son récit en ignorant royalement la question. « C’était un après-midi. Il était revenu après deux semaines passé sur la route. A nos retrouvailles, on faisait toujours l’amour… Tout se passait bien comme d’habitude. En fait, on avait pratiquement fini même. Et puis, soudain… Il a commencé à tressaillir… Le temps que je me dégage pour lui demander ce qui se passe, brusquement, il s’est affaissé sur moi… En poussant une sorte de râle sec. En une fraction de seconde, j’ai senti qu’il y avait problème. Il était un peu corpulent et ce n’était pas évident. J’ai tenté de le pousser en disant son nom à haute voix, mais… il ne bougeait plus ! J’ai dû forcer pour me dégager et une fois hors du lit… Je ne me souviens plus très bien, mais je crois que j’ai hurlé. J’étais comme dans un état second. Je crois que le voisin qui a accouru a compris tout de suite ce qu’on faisait quand il est mort. Parce que c’est lui qui l’a couvert avant d’alerter la police. Avec les policiers venus pour le constat et les médecins, ça a été terrible pour moi. Parce que j’étais obligée de leur avouer qu’on était en train de faire l’amour quand il a piqué sa crise. Mais, inconsciemment, je crois que j’espérais toujours que c’est juste un malaise. Parce que c’est lorsque le médecin a prononcé « l’heure du décès » que j’ai pris le vrai coup (…). En deux jours, j’ai perdu cinq kilos ! Mon corps était à moitié paralysé. Je me posais tellement de questions sur ce qui se passe dans un cas comme ce que j’ai vécu. Y a-t-il une cérémonie spéciale ? Je ne savais pas… Il avait une femme au Mali où il vit et j’étais sa deuxième, ici en Côte d’Ivoire… Bon, aujourd’hui, le temps a fait son œuvre, la vie a repris ses droits. Mais, ça a duré quatre à cinq ans avant que je ne puisse m’ouvrir de nouveau à un homme. Je fais de gros effet pour faire l’amour… très rarement. Mais, chaque fois, je suis braquée, très attentive au moindre soupir de mon nouveau compagnon. Je me demande toujours si lui aussi n’est pas en train de mourir ou n’allait pas mourir juste après… En même temps, je ne crois pas que si ça arrivait, je pourrais encore le supporter. Non, où vais-je trouver la force même ?»
Diane K., 38 ans, Commerciale.
Elle a lové 3 ans avec un agent des Eaux et Forêts mort à l’hôtel en 2004.
« J’ai frôlé la folie »
« Il y a onze ans, j’ai frôlé la folie… de très-très près même ! Peut-être ma chance, c’est que Ulrich (nom d’emprunt choisi par nous : Ndlr), n’est pas décédé dans mes bras. Mais, ça s’est passé dans un hôtel et je crois que ça aussi, ça m’a détruite à moitié. En fait, il était marié, mais… On s’aimait vraiment. Donc, chaque début de mois, un week-end, on passait deux jours de suite ensemble dans un hôtel respectable. Ainsi, ce vendredi soir du mois de mai 2004, tout s’était bien passé. On venait de finir de faire l’amour… On était étendu dans le lit, j’attendais que ça respiration qui était un peu ‘’monté’’ tombe pour qu’on cause un peu, mais… Un bon moment après, j’ai senti que sa respiration ne tombait toujours pas. Et puis, il a commencé à s’agiter dans le lit mais il ne parlait pas. Il avait l’habitude de faire ça pour m’embêter quand je cherchais à dormir, alors que lui voulait remettre ça. Donc, pour moi, c’était encore ses ‘’manigances’’ pour qu’on remette ça. Donc, je faisais la sourde oreille. Mais ça a continué et un moment, je l’ai entendu émettre un souffle lourd… Long. Un peu comme ce que font les enfants après avoir longtemps pleuré, vous voyez ?… Là, ça m’a intriguée. Je me suis retournée et je lui ai crié ‘’Ah, toi aussi ! ’’… J’ai compris que quelque chose n’allait pas. La panique m’a saisie. J’ai juste eu le temps de lui demander : ‘’de t’apporter de l’eau ? Ok, je vais en chercher’’… » Ici, elle marque une pause qui semble éternelle.
Une vague de larmes que nous avons le temps de voir venir du fond de ses grands yeux vient s’écraser sur la berge de son visage balayé par un vent d’émotion qu’elle a du mal à contrôler. L’instant est grave. Nous croisons les doigts : il ne faut surtout pas qu’elle change d’avis et décide de ne plus parler. Et puis, ouf ! «…Je me suis rhabillée précipitamment, je suis descendue à la réception. J’ai dit au réceptionniste que mon chéri avait un malaise. Il m’a demandé le numéro de la chambre et s’est lancé dans les escaliers suivi d’un autre monsieur qui était là. Restée seule à la réception, j’entendais presque mon cœur dans ma poitrine. J’ai pensé au scandale, à la police, à sa famille… Et puis… J’ai paniqué. Soudain, comme sous l’influence d’une force qui me contrôlait, je suis sortie de l’hôtel et, comme un robot, sans regarder derrière, j’ai regagné la voie principale à une centaine de mètres de là. J’ai arrêté un taxi et je suis partie. En tout cas, j’ai paniqué !…J’avais 27 ans, je n’avais jamais vu ça, jai cru qu’il s’en sortirait, qu’il me comprendrait. Et quand le lendemain, j’ai appris la nouvelle, j’ai piqué une crise… Je ne sais pas, c’était une sorte de colère. Une colère terrible ! Pourquoi n’était-il pas mort chez lui à la maison, près de sa femme ? Avait-il seulement pensé à ce que ce drame pouvait changer dans la vie de la ‘’petite’’ de 27 ans que j’étais ?… Plus tard, sur les conseils d’une amie, j’ai dû me ruer dans une église pour rencontrer un pasteur. Je lui ai raconté toute mon histoire… J’ai mis plus de cinq ans à me retrouver. Même aujourd’hui encore, je continue de me reconstruire… Avec l’aide de mon pasteur. Il y a aussi mon fiancé que j’ai rencontré dans mon église qui me soutient. Moi, c’est surtout pour glorifier Jésus que j’ai accepté de livrer ce témoignage. Parce que je crois que sans lui, je serais devenue folle, ou alcoolique et que sais-je encore ? Et comme me le dit mon pasteur, je me sens consolée en me disant que c’est sûrement la voie que Dieu a trouvée pour me rappeler à lui, alors que j’étais franchement égarée…»
Ami. N., 42 ans, couturière, spécialiste Prêt-à-porter.
Seconde femme de T. Badra, homme d’affaire mort dans ses bras en 2006
« Elle le revoit sur elle… »
Cela fait 10 ans que le mari de Marie-Ange l’a quitté, elle et ses deux enfants, une fille et un garçon de 9 et 7 ans. L’homme avait plus de 70 ans au compteur. Aujourd’hui, 10 ans après le drame, c’est toujours très dur pour la jeune femme. D’autant plus je que son défunt mari est mort dans mes bras. Même aujourd’hui encore, elle ne s’imagine pas vraiment en train d’aimer, à plus forte raison, faire l’amour avec un autre homme. Depuis la fin de mon veuvage, elle a eu beaucoup de prétendants et toute sa famille et ses amies lui conseillent de refaire sa vie. Mais comment ? Son mari était un mari et un père pour elle. Et même si Ami ne vivait pas vraiment avec lui, elle se sentait vraiment bien avec lui, elle était heureuse… Chaque fois qu’un homme commence à lui parler de sentiment, elle a la très nette impression que son mari est juste à côté, la regarde. Elle fait un blocage. Une seule fois, en 2012, elle a tenté une histoire avec un homme. Et tout avait bien commencé… Jusqu’à ce qu’elle accepte et tente de franchir le pas avec son nouvel amoureux. Ça a été le choc ! Parce que c’est comme si elle le revoyait… sur elle ! Depuis, elle a tout arrêté, refuse toute invitation de soupirants. Mais c’est difficile. Et il arrive à la jeune femme de pleurer lorsqu’elle se retrouve toute seule en chambre. Heureusement, elle a une belle famille, surtout les grands enfants de son mari qui passent la voir elle et les enfants quand ils le peuvent. Mais ils ont aussi leurs vies et chaque fois qu’ils se retirent, Ami ressent encore plus profondement l’absence de son homme. Mais, il semble bien qu’elle est en train de se remettre… Récemment, elle a pu accepter l’invitation à sortir d’un courtisan et elle dit s’être sentie vraiment bien. Ce n’est pas facile, mais elle croit que cette fois, elle y arrivera. Parce que la vie continue et elle a compris qu’il faut bien qu’elle continue de vivre la sienne.
NB : ce récit a été reconstitué à partir du témoignage de la sœur aînée d’Ami. N.
Ces grands tombés sur les »fronts »… intra-jambaires….
Plusieurs cas d’épectase sont restés célèbres dans l’histoire. Avec des versions plus ou moins vérifiées. En voici quelques uns…
Le pape Paul II
Élu en 1464, il est à l’origine de la couleur pourpre des cardinaux. Autoritaire, fêtard et ouvertement homosexuel, il meurt en se faisant sodomiser par un jeune page (ou vice-versa, en fait on ne le sait pas bien). La version officielle parle d’indigestion de melons, (on a ensuite suggéré qu’ils aient pu être empoisonnés.) On parle aussi de mort par AVC, mais toujours sans préciser s’il était seul et ce qu’il faisait.
Le pape Pie IV
Élu en 1559, il manifeste pendant son cours pontificat (6 ans), une hypocrisie à peine croyable : il réaffirme solennellement que les prêtres doivent rester célibataires et s’abstenir de toutes relations sexuelles. Et Pie IV montre l’exemple lui-même en devenant le père de trois enfants naturels et en fréquentant les plus belles courtisanes de Rome, notamment la pulpeuse Elvira Cagliari. Le 8 décembre 1565, Pie IV fait une petite fête avec quelques cardinaux, quelques princes et quelques belles d’un soir. Les mets sont succulents, le vin coule à flot et les cuisses se font légères (…). Plus tard, les convives se retirent à l’exception d’Elvira Cagliari, sa maîtresse favorite (…) La suite est fatale. Pie IV meurt donc d’épectase. Mais la pudeur des biographes fait qu’aujourd’hui encore, on ne retient que la « mauvaise fièvre » comme motif de sa mort. Ou alors, on n’en parle pas. Plus simple, non ?
Le président français Félix Faure
Coureur de jupons, amateur du beau sexe et doté d’un énorme appétit sexuel, il s’organise régulièrement des parties de jambe en l’air à l’Elysée. On le retrouve un jour (1899) sans connaissance, les mains agrippées dans la chevelure de l’une de ses maîtresses, Marguerite Steinheil, complètement nue et hurlant de stupeur. Pour la libérer de son amant mort, il a fallu lui couper quelques mèches de cheveux. Après quoi, on la fait sortir par une porte dérobée, pour laisser le médecin du président et, semble-t-il, un curé faire ce qu’il leur restait à faire. C’est à dire plus grand-chose !
Le cardinal (et académicien) Jean Daniélou
En 1974, il trouve la mort chez une prostituée à Paris. L’Église catholique explique alors que le cardinal visitait fréquemment les malades et les prostituées.
Sani Abacha
Ce général nigérian fut dictateur de son pays de 1993 à 1998. Épectase ou empoisonnement ? Toujours est-il que la nuit de sa mort, il était en compagnie de six jeunes prostituées indiennes « importées » de Dubaï pour éteindre son ‘’feu présidentiel’’.
Bien d’autres noms, comme Nelson Rockefeller et Richard Wagner, sont également inscrits au panthéon des décès par épectase. Et la liste ne serait pas près de s’arrêter. A mois que…
A.K